Henri Lindegaard :

Dessins et textes de "La Bible des contrastes"

Par-dessus bord

Ci-suit une sélection de dessins et textes de "La Bible des contrastes" reproduits sur Internet et ailleurs. 

Les reproductions sont indiquées par des numéros après les titres, avec les références en bas de page. 

Voir aussi les pages "Dessins" et "Portée" pour d'autres exemples. de navigation du site : cliquez sur les éléments soulignés pour accéder aux pages web correspondantes. 

  




  Dans sa main (1)(4)

Les disciples sortent
pour annoncer partout la Bonne Nouvelle. 
Le Seigneur les aide
et confirme la Parole
par les signes qui l'accompagnent. 

La main du Seigneur est avec eux : 
grand est le nombre de ceux qui croient
et se tournent vers le Seigneur.









À droite, tapisserie murale (25) de Daniel Bourguet, exposée à la chapelle de Tierra Nueva, États-Unis.


Reste et viens avec nous
(2)(4)(11)(17)(25) 

Seigneur,
ton visage d'inconnu 
est dans l'ombre de la croix
et cette ombre, par toi, 
devient lumière. 

Tes pieds sont encore troués,
tes mains rompent encore le pain 
et la coupe déborde.

Et moi, je suis assis 
devant la fenêtre du monde. 
Ma droite attend ton pain
et ma gauche te retient :
     - "Reste avec nous !"

Et moi, je suis déjà debout
devant la porte du monde.
Ma gauche attend ton vin 
et ma droite ne peut plus te retenir.
Par cette porte ouverte 
je vais partir :
     - "Viens avec nous !"
                                                            



 

       Ascension (2-3)(12)(22)

Pourquoi ta main descend-elle si bas,
comme si tu mendiais quelque chose,
alors que tu es riche d'un bel héritage ?

Pourquoi te penches-tu vers ceux
qui sont dans l'ombre,
alors que tu t'élèves sur des marches de lumière ?


Pourquoi en allant vers le Père, 
te tournes-tu encore vers les hommes,
comme si tu voulais les arracher au trou qui les attend
et les entraîner sur le chemin de ta victoire ?
 
                                                               

Contrairement à de nombreuses autres représentations qui mettent l'accent sur le mouvement ascendant du Christ, le dessin de Lindegaard le montre tourné vers l'humanité (22). 


Une ligne qui s'incline
(8)(15)(20)

Peu à peu, la ligne s'incline
sous la pesanteur de la gloire.

Verticale d'abord,
elle devient le bâton d'un voyageur,
le bâton de Joseph, cet homme lumineux
qui, dans la foi, surmonte l'incertitude.
Car il tend l'oreille et il entend
une voix d'en haut qui le rassure
- "Ne crains pas de prendre avec toi
Marie ta femme,
car l'enfant qu'elle a conçu
vient du Saint Esprit."

La ligne s'incline encore,
devient les barreaux d'une mangeoire
c'est parmi les animaux
que naît le roi de l'univers.



La ligne s'incline encore,
devient une femmme fatiguée ;
fatiguée d'avoir marché longtemps,
d'avoir cherché longtemps un lieu
pour accoucher d'un fils,
son premier-né.

La ligne s'incline encore vers une crèche,
devient un enfant couché, emmailloté,
déjà les bras ouverts, déjà lié de bandelettes.

 - "Ô mon fils,
     seras-tu mis en croix
     et déposé dans un tombeau ?
     Mettras-tu dans ce trou noir une                        lumière ?"

Peu à peu la ligne verticale devient horizontale.
Et c'est ainsi, sous la pesanteur de sa gloire,
que Dieu devient homme.


Pourquoi m'as-tu abandonné ? (4)(11)

Il ne sait pas ce qui lui arrive,
pourquoi tous ces malheurs sur sa vie.

Ses amis sont venus le consoler.
Paroles, paroles...
Leurs paroles ne sont que du vent.
Comment expliquer avec des mots
une profonde souffrance ?

Job reste seul avec son Dieu :
"Mon Dieu, mon Dieu,
pourquoi m'as-tu abandonné ? 
Le jour je t'appelle
et tu ne réponds pas.
La nuit je t'implore
et mon cœur ne trouve pas la paix.
Je n'ai plus que les os et la peau
et les yeux pour pleurer...
et les mains ouvertes de l'attente."

  Marcheurs d'espérance (14)(18)(23)(28)

Ils sont quatre, un à chaque coin du lit,                        ensemble à cause de celui qui ne peut marcher.            Quatre pour tenir le coup devant l'écueil,                        quatre pour chercher le meilleur chemin,                        quatre pour une prière,                                            horizontale comme les barres de la civière,                        mais bientôt verticale quand,                                                   à travers le trou creusé dans la terrasse,                               ils descendront leur ami vers celui qui peut le guérir 

Ne pourrait-on pas voir dans ces porteurs                    l'église de Rome, l'église orthodoxe et l'église de la Réforme portant au Christ notre monde malade                                  et paralysé par toutes sortes d'angoisses ? 

Mais les grandes familles chrétiennes ne sont que trois !  Que représente donc le quatrième porteur ?                          Il représente tous ceux qui, sans appartenir à une église,    ne peuvent supporter de laisser le monde dans son état.

Ensemble ils retroussent leurs manches,                    arrachent le monde aux ténèbres du tombeau                 pour le porter à la lumière de la vie. 

Le Christ ne figure pas dans ce dessin,                              mais toutes les lignes convergent vers lui.                        C'est dans sa lumière que les quatre marcheurs s'avancent, d'un même pas.                                                      

Feu de braise (23)

Au bord du tombeau, je pleure : On a enlevé mon Seigneur ! Mais il a suffi d'un mot : "Marie", et j'ai reconnu mon maître.

J'aperçois un feu de braise : dessus du poisson et du pain. A ce feu, je sécherai mes larmes et je me réjouirai.

Au bord de la foi, moi Thomas, je doute : je ne vois pas mon Seigneur et mon Dieu. Mais il a suffi d'un mot : "crois", et je me suis prosterné.

J'aperçois un feu de braise : dessus du poisson et du pain. A ce feu, je brûlerai mon doute et je me réjouirai.

Au bord de la mer, moi Pierre, je pêche. Le Seigneur n'est plus là pour m'aider, mais il a suffi d'un mot : "avance", et mon filet a été comblé.

J'aperçois un feu de braise : dessus du poisson et du pain. A ce feu, j'éclairerai mon travail et je me réjouirai.

Ce fut la première fois, la deuxième fois,
la troisième fois, que Jésus se montra ressuscité. Sur le rivage de ma peine, de mon doute et de mon travail,
j'ai vu la vie, la vérité et le chemin.

J'ai aperçu un feu de braise et la Cène préparée. Par ce feu et ce repas, je me réjouirai.

Troublée par la Parole (15)(26)

Comme celui qui dans le Temple annonce le pardon,
le messager de la promesse apparaît à la porte du quotidien.
 
Et la porte se remplit de lumière.

Pas d'ailes pour cet ange, mais des bras chargés d'ombre. 
   - "Je te salue, toi à qui une grâce a été faite. 
       Le Seigneur est avec toi."

Elle est gracieuse, la jeune fille agenouillée. 
Un nœud à ses cheveux car elle est fiancée.

Marie recule la tête un peu, car elle est troublée par la parole: 
   - "Tu deviendras enceinte et tu enfanteras un fils." 

Une main questionne :
    - "Comment cela se fera-t-il ?
        Je ne connais point d'homme."
    - "Rien n'est impossible à Dieu."

Une main accepte:
   - "Je suis la servante du Seigneur,
       qu'il me soit fait comme tu l'as dit."

          Un ange leur apparut (26-28) 

"Il y avait dans cette contrée des bergers
qui passaient la nuit dans les champs
pour garder leur troupeau.
Un ange leur apparut
et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux."

Poursuivi par son frère, Jacob, fatigué, s'était couché ; 
il avait mis sa tête sur une pierre et s'était endormi.
Alors une échelle était apparue qui reliait le ciel et la terre,
des anges montaient et descendaient.
Et il avait reçu cette promesse :
     "Toutes les familles de la terre
       seront bénies en toi."

Aujourd'hui, la promesse s'accomplit.
De nouveau, des anges apparaissent en gloire
pour annoncer une nouvelle qui sera pour tout le peuple
le sujet d'une grande joie :
     "Aujourd'hui, dans la ville de David, 
       un sauveur vous est né !"

L'extraordinaire dans l'ordinaire :
des moutons broutent,
un chien dort,
Jacob rêve.
Mais les bergers de Bethléem ont les yeux bien ouverts.

                   Regards (21)(25-26)

Un regard en arrière,
un regard en avant,
et tenir l'espérance.

Joseph regarde en arrière.

En arrière: sa fiancée enceinte et le poids
du soupçon, une naissance qui trouble le pouvoir
et un massacre d'innocents, des cris 
et des lamentations.

Mais en arrière aussi l'aventure de la foi :
un ange qui lui demande de prendre avec lui Marie
et l'enfant qu'elle a conçu, une voix qui l'avertit
du danger à éviter et lui indique la route à suivre.

Oubliant ce qui est en arrière et se tendant 
vers ce qui est en avant, Joseph prend le bâton 
d'Abraham et court vers le but.

Marie regarde en avant.

En avant : l'Egypte, l'exil, l'inconnu. 
Elle ne comprend pas tout ce qui arrive,
mais elle fait confiance : 
       "Rien n'est impossible à Dieu."
Elle regarde en avant mais elle se souvient. 
Elle a gardé tant de choses dans son cœur !

Elle se souvient peut-être de cette parole de Siméon :
       "Femme, la douleur te transpercera l'âme 
       comme une épée."
L'avenir est fait de souffrance et l'enfant qu'elle tient
est déjà en croix.  

L'espérance du monde n'est ni dans la puissance,
ni dans la richesse, ni dans la science,
mais dans la faiblesse, dans la pauvreté, 
dans l'innocence d'un enfant. Marie tient fermement
cette espérance et court vers le but. 

Quant à l'âne avec ses grandes oreilles, 
il a l'air d'écouter ce que dit Saint Paul: 
       "Ne perdons pas courage !"

         Un homme nouveau (10)(19)(25)

Le roseau qui n'a jamais plié sous le vent d'Hérode
se plie à la volonté de celui qui veut tout accomplir.

Jean, d'abord, s'oppose :
   - "C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi
       et c'est toi qui viens à moi !"
Mais Jésus lui répond :
   - "Accepte que nous accomplissions ainsi,
       maintenant, la volonté de Dieu."
Et Jean accepte.

Ici quelque chose finit
   et quelque chose commence.
La loi et les prophètes vont jusqu'à Jean,
   et depuis, la bonne nouvelle est annoncée.
Ici le plus grand parmi ceux qui sont nés de femmes
   et le plus petit dans le royaume de Dieu.
Ici celui qui baptise d'eau,
   et celui qui baptise de feu.

En entrant dans le monde, Jésus dit :
   - "Tu m'as façonné un corps.
      Je viens, ô Dieu, pour faire ta volonté."
Et il entre dans l'eau où se cache la mort,
dans l'eau où le poisson de Jonas avale
et rend
trois jours après.

Alors les cieux s'ouvrent.
Comme au commencement du monde,
l'Esprit descend
et plane sur les eaux ainsi qu'une colombe :
un homme nouveau est né.
   "Voici mon serviteur que je soutiens,
    mon fils, le roi que j'ai choisi.
    Je lui donne mon Esprit
    pour qu'il accomplisse mon œuvre
    et donne l'Esprit à toute chair."



Ce dessin fait partie de la série de huit dessins et textes de "La geste de Jean-Baptiste". Ils furent d'abord publiés en novembre - décembre 1983 dans l'hebdomadaire protestant "Le Christianisme au XXe siecle". Depuis, LIndegaard retravailla les textes, qui prirent leur forme définitive dans "La Bible des contrastes".

Daniel Bourguet, qui a reproduit ce dessin en tapisserie murale (25), fait remarquer la marque des clous dans les mains de Jésus, préfigurant sa mort au moment même de son baptême. 

À remarquer aussi l'allusion dans le texte et le dessin au poisson de Jonas, qui préfigure aussi la mort et résurrection de Jésus, dans cette interprétation christologique du récit de Jonas de l'Ancien Testament. 

      Marche sur la mer (4)(16)(21)

Quand vient le soir, 

les disciples descendent à la mer, sans lui, 
car il est resté sur la montagne, 
seul avec son Père.
Ils montent dans une barque pour traverser la mer 
mais sans lui, la mer est immense et la nuit obscure. 
Au milieu de la traversée, un vent se lève en ouragan 
qui déchaîne la tempête.
Pour les disciples, grande est la crainte 
d'être livrés aux puissances du mal ; 
mais quel danger plus grand que celui de la mort 
qui, pire que la mer, engloutit pour toujours ? 
     "Dans leur détresse, ils crient au Seigneur 
      et il les délivre de leurs angoisses."
Celui qui refuse la royauté terrestre 
vient dans la gloire du Fils ressuscité. 
Dans la mer il se fraye un chemin, 
un sentier au-dessus de l'écume.
Voyant cet homme qui apparaît comme Dieu,
les disciples ont peur. 
Mais il leur dit son nom : 
     "Je suis c'est moi. 
      N'ayez pas peur !" 
Aussitôt la barque touche terre, 
car leur désir est comblé. 
Là, plus de cri, ni de crainte, ni de détresse : 
la mer et la mort ont disparu.

      Devant Jérusalem (4)(7)(13)(23)
 
     Qui est celui qui s'avance, 
     monté sur un âne modeste et pacifique ? 
     C'est le roi de paix qui entre dans sa ville. 

Un roi de paix... n'est-ce pas extraordinaire ? 
Il vaut la peine de l'acclamer et de crier : Hosanna ! 

Si les habitants de la ville restent indifférents, 
les enfants crieront.
Si les enfants se taisent, 
les arbres crieront. 
Si les arbres se taisent, 
les pierres crieront.

Mais les enfants reconnaissent celui qui vient, 
les enfants et ceux qui leur ressemblent. 
Ils agitent des branches pour faire une haie d'honneur,
ils étendent leurs vêtements pour faire un beau tapis.

Malgré l'enthousiasme des uns
et devant l'indifférence des autres, 

     Jésus se sent très seul.
     "Jérusalem qui tues les prophètes 
     et qui lapides ceux qui te sont envoyés, 
     si seulement tu comprenais en ce jour 
     ce qui peut donner la paix !"

La venue de l'Esprit (6)(21)

Versé d'avance (21)(23)

            Alléluia (20)(24)

Que le premier accord de ce trio
dise au Seigneur :
- Alléluia ! 

Unis dans une seule symphonie,
en lignes droites et en lignes rondes,
pour toi, Seigneur, nous jouerons
le chant du monde
au rythme de ton amour.

À travers ma flûte argentine,
le souffle chaud de ma poitrine
deviendra un chant d'oiseau,
le vol d'un bourdon sur la treille,
le rire d'un nourrisson qui s'éveille
et le vent glissant sur la colline aux premières lueurs
du matin.

De mon petit violon
et de mes doigts agiles,
jailliront les perles d'une fontaine,
les caresses de ceux qui s'aiment,
les pleurs des enfants que l'on tue
et le vent glissant sur la colline
dans la chaleur de midi.


Avec mon gros violoncelle
et la vigueur de mon archet,
je dirai les soupirs de celles qu'on délaisse,
les gémissements des bêtes sous-marines,
le souffle rauque de ceux qui vont mourir
et le vent glissant sur la colline
quand vient la nuit.

Seigneur,
que cette vie est belle et digne d'être jouée
avec ses blanches et ses noires,
ses départs et ses arrêts,
ses murmures et ses cris,
ses espoirs et ses regrets,
ses rires et ses pleurs,
ses vides et ses pleins,
son début et sa fin.

Merci de nous l'avoir donnée.
Que la dernière note à l'unisson,
avant que vienne le silence, te dise :
                       - Alléluia !

Pilate et la vérité (4)(29)

Références - en ordre chronologique inverse des reproductions, dont le contexte est indiqué en gras : prédication, bulletin paroissial, notice, animation biblique, cours de catéchisme, livre, blog, tapisserie murale, etc.

(1) Recueil : Claude Caux-Berthoud, Prier le temps d'une rencontre, Éditions Olivétan, 2022 - Dessins - Brève rencontre : p. 10 - Celui qui vient : p. 20 - Tombé à terre : p. 34 - Dans sa main : p. 48 - Jérusalem LA NEUVE : p. 64
(2)
 
Prédications
Église Protestante Unie à Bois-Colombes (Hauts-de-Seine) - Le troisième homme (dessin) et Reste et viens avec nous (dessin et texte) : 25 avril 2021 et 3 mai 2020 - Ascension (dessin) : 24 mai 2020
(3) Programme de culte : Consistoire de Dettwiller (Bas-Rhin), 21 mai 2020 - Ascension (dessin et texte)
(4) Prédications et ressource numérique : Église réformée évangélique d'Aix-en-Provence (Bouches-du-RhôneMarche sur la mer : 17 mai 2020 (dessin), 26 mars 2016 (texte) - Reste et viens avec nous (dessin) : 5 mai 2019 Devant Jérusalem : 11 avril 2019 (dessin)2 mars 2016 (dessin), 19 mars 2016 (texte) - Dans sa main (dessin et texte) : 21 mars 2016 - Pourquoi m'as-tu abandonné ? (dessin et texte) : 19 mars 2016 - Pilate et la vérité (dessin) : 2 mars 2016 
(5) Méditation du jour de Noël : Communion Béthanie, 24 décembre 2019 - Une ligne qui s'incline (dessin) 

(6) Prédication : Église protestante unie des îles de Saintonge, 20 mai 2018 - La venue de l'Esprit (dessin et texte)  
(7) Prédication : Grand Temple, Lyon, 25 mars 2018 - Devant Jérusalem (dessin)  
(8) C
alendrier de l'Avent
Paroisse de Sélestat (Bas-Rhin), décembre 2017 Une ligne qui s'incline (dessin et texte) 
(9) Bulletin paroissial italien : Église vaudoise de Florence Diaspora Evangelica, n. 1-2 Anno L, janvier - février 2017 - Une ligne aui s'incline (texte en traduction italienne) - L'oeil (dessin) 
(10) Recueil : Daniel Bourguet, Sur les bords du Jourdain, Éditions Olivétan, 2016 - Un homme nouveau (dessin) : couverture
(11) Recueil : Claude Caux-Berthoud, Prier le temps d'une offrande, Éditions Olivétan, 2016 - Dessins - Pour devenir moisson : couverture - Comme deux coupes vides : p. 8 - À l'ombre de la grâce : p. 16 - La conversion : p. 28 - Pourquoi m'as-tu abandonné ? p. 38 - Reste et viens avec nous : p. 50 - Semblables et différents : p. 64
(12) Bulletin paroissial : Église protestante unie de France, Royan et Saintonge Océan 
(Charente-Maritime), 14 mai 2015 - Ascension (dessin et texte) 
(13) Article en anglais : blog Global Christian Worship, 28 mars 2015 - Devant Jérusalem (dessin) 
(14) Bulletin paroissial : 
Église protestante unie de Grenoble, ÉCHOS, n. 132, mars 2015, p. 13 - Marcheurs d'espérance (dessin) 
(15) Message de veillée de Noël en Suisse : Églises réformées Berne-Jura-Soleure, 2014 - Dessins - Troublée par la parole - Il suffit d'une étoile 
(16) Bulletin paroissial : Paroisse Saint-Matthieu et Port-du-Rhin, Strasbourg, Le Lien n. 208, septembre - novembre 2014 - Marche sur la mer (dessin)
(17) Bulletin paroissial 
: Paroisse protestante de Illkirch (Bas-Rhin), Le lien n. 108, mars-avril-mai 2013, p.6 - Reste et viens avec nous (dessin)
(18) Bulletin paroissial : Église protestante unie Lyon Sud-Ouest, Sarra-Info, janvier 2013, p. 7 - Marcheurs d'espérance (dessin et texte

(19) Activité catéchétique pour enfants : Église catholique de Bruxelles, Cathoutils.be, portail d'outils bibliques, 13 janvier 2008 - Un homme nouveau (dessin et texte)
(20) Recueil : Claude Caux-Berthoud, Prier le temps d'une pause, Éditions Olivétan, 2006 - Alléluia (dessin) : couverture et en tapisserie murale par Daniel Bourguet, p. 34
(21) Ouvrages catéchétiques : Antoine Nouis, Les cahiers du Caté , Éditions Olivétan, 2005 - Dessins et textes
Tome 1 Regards, p. 83 - La venue de l'Espritp. 98 Tome 2 : Marche sur la mer : p. 86 - Tome 3 : Versé d'avance
(22) Ouvrages d'art biblique pour enfants : Hélénette Goulon, Michèle Mélières et Sophie Zentz-Amédro, Regards d'artistes : des peintres, sculpteurs ... interprètent la Bible et les fêtes chrétiennes, et Regards d'artistes : de Pâques... à Pentecôte, Société d'Édition et de Diffusion du Service Catéchétique du Conseil Permanent Luthéro-Réformé, 2001 - Ascension (dessin et texte)
(23) Ouvrage de théologie pratique en allemand : Hanne Holch et al., Die « Biblischen Kontraste » von Henri Lindegaard in der Gemeindearbeit, Éditions La Colombe, 1998 - Dessins - Pour devenir moisson : couverture et p. 15 - La création : p. 4 - Le prince de la paix : p. 8 - Seul : p. 11 - Tombé à terre (et texte) : p. 13 - Dans la violence : p. 14 - Marcheur d'espérance (et texte): p. 17-18 - Versé d'avance : p. 19 - Devant Jérusalem : p. 21 - Feu de braise (et texte) : p. 25 - La venue de l'Esprit (et texte) : p. 29 - La bonne place : p. 35
(24) Henri Lindegaard, Foi et Vie, Vol. 96 n. 3, Juillet 1997, p.52 
Alléluia (dessin et texte)
(25) Tapisseries murales : Daniel Bourguet - sélection : Comme de l'argile : exposée au réfectoire de la Communauté de Pomeyrol, Saint-Étienne-du-Grès (Bouches-du-Rhône) - Comme deux coupes vides - Reste et viens avec nous : exposée à la chapelle de Tierra Nueva, Burlington (Washington) États-Unis - Un homme nouveau - Alléluia - Le prince de la paix - Regards - Dernier repas - Il est ressuscité ! : exposée à la chapelle du monastère des Abeillères, Saint-Jean-du-Gard (Gard)
(26) Hebdomadaire : Armée du Salut, En Avant ! n. 5638, décembre 11-24, 1994 - Dessins et textes - Troublée par la parole : p.3Un ange leur apparutp.5 - Regards : p.9
(27) Bulletin paroissial : Église réformée de Die et du Bas-Diois, Le Nouveau Lien n. 144,  décembre 1994 - Un ange leur apparut
(28) Interview : Henri Lindegaard en dialogue avec Jean-Louis Decker, « Les cendres d'un grand feu... », Almanach évangélique luthérien, 1991 - Marcheurs d'espérance (dessin et texte) : pp. 90-91 - Un ange leur apparut (dessin) : p. 93
(29) Hebdomadaire protestant : Le Christianisme au XXe siècle, 13 février 1984 - Pilate et la vérité (dessin et texte)

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